Synopsis
Ce que je vais faire ? Tout comme eux mais en pire.
Le Rond-Point se transforme en QG des présidentielles. Un candidat hors listes se présente. Il casse la baraque, drague les petits commerçants et les gros, ratisse large et rassemble toutes les volontés du peuple dans un programme ultra démagogique et ultra populiste afin d’être élu. C’est Super Rebelle, qui détrônera à coup sûr le tyran Zébulon et tous les prétendants au trône et siphonnera les voix nationalistes extrêmes : quitte à voter nul, votez pour moi. Christophe Alévêque fuit les médias complaisants, brûle les planches d’une liberté de ton où tout est encore possible. La gauche moisie, les abus de pouvoir, de biens sociaux, l’impunité des ministres en vacances chez les dictateurs amis… Sujets en or qu’il déchiquette avec les crocs, en déconnades, chansons avec orchestre et revue de presse actualisée chaque soir. Il gueule, rit pour alarmer, il veut que ça change, que ça choque. Alévêque abhorre le cynisme satisfait. Brutalité, grossièreté des gens du pouvoir, il retourne les armes à sa portée, tire à vue. Il s’en prend à tout ce qui ne bouge plus. Cela n’a rien d’un meeting, c’est un rassemblement de gens qui ont besoin de se faire du bien, on vient rire ensemble de nos misères dans une société où chacun s’isole de plus en plus avec son Internet et ses portables. Je veux aller plus loin, encore, car communier en riant dans l’horreur peut donner aussi l’envie et la force de changer les choses ! » En 2012, il lâche les chiens au Rond-Point. Les ministères et l’Élysée ne sont pas loin.
Le Rond-Point se transforme en QG des présidentielles. Un candidat hors listes se présente. Il casse la baraque, drague les petits commerçants et les gros, ratisse large et rassemble toutes les volontés du peuple dans un programme ultra démagogique et ultra populiste afin d’être élu. C’est Super Rebelle, qui détrônera à coup sûr le tyran Zébulon et tous les prétendants au trône et siphonnera les voix nationalistes extrêmes : quitte à voter nul, votez pour moi. Christophe Alévêque fuit les médias complaisants, brûle les planches d’une liberté de ton où tout est encore possible. La gauche moisie, les abus de pouvoir, de biens sociaux, l’impunité des ministres en vacances chez les dictateurs amis… Sujets en or qu’il déchiquette avec les crocs, en déconnades, chansons avec orchestre et revue de presse actualisée chaque soir. Il gueule, rit pour alarmer, il veut que ça change, que ça choque. Alévêque abhorre le cynisme satisfait. Brutalité, grossièreté des gens du pouvoir, il retourne les armes à sa portée, tire à vue. Il s’en prend à tout ce qui ne bouge plus. Cela n’a rien d’un meeting, c’est un rassemblement de gens qui ont besoin de se faire du bien, on vient rire ensemble de nos misères dans une société où chacun s’isole de plus en plus avec son Internet et ses portables. Je veux aller plus loin, encore, car communier en riant dans l’horreur peut donner aussi l’envie et la force de changer les choses ! » En 2012, il lâche les chiens au Rond-Point. Les ministères et l’Élysée ne sont pas loin.
Crédits
Mise en scène
Réalisation
Auteur(s)
Lieux
Théâtre du Rond-Point
Ville de tournage
Paris